En 24 mois, on est passé de 3 828 à 7 622 mots clés positionnés dans le top 100 Google, dont 143 en top 3 et 489 en top 10, avec une méthodologie simple et un budget estimé de 250€/mois.
Pourquoi une étude de cas interne et non des cas clients ?
On nous demande souvent des exemples concrets. Pour nos clients, c’est compliqué de publier des études détaillées : on évite de divulguer des budgets et on ne détaille pas la stratégie de netlinking, souvent sensible selon les secteurs.
Pour rester transparents sans exposer d’informations confidentielles, on documente ici l’un de nos propres sites : tcic.eu, l’un des 66 sites de notre réseau.
Contexte du projet
tcic.eu est un site de type magazine qui publie des contenus business et marketing. On a choisi une approche longue durée : publier chaque semaine, optimiser proprement, soigner le profil de liens et maintenir le site techniquement. Objectif : observer la progression organique d’une stratégie régulière avec des moyens raisonnables.
Méthodologie appliquée
Contenu éditorial hebdomadaire
On publie de nouveaux articles chaque semaine. La cadence est volontairement réaliste pour un budget PME : pas de pic de production, mais une constance qui facilite l’indexation et la consolidation des positions. Chaque article cible une intention claire avec un champ sémantique travaillé.
Optimisations on-site
On travaille la structure des pages (titres, balisage, maillage interne), la lisibilité et les performances. Les pages dites pilier servent d’ossature et captent des requêtes plus compétitives, tandis que les articles connexes élargissent la couverture de mots clés et renforcent l’autorité thématique.
Netlinking : prudent, progressif, documenté
On construit un profil de liens propre et naturel, avec une montée en puissance progressive. L’ancre, la pertinence thématique et la diversité des domaines référents sont surveillées.

Vue Majestic du netlinking :
Résultats observés sur 24 mois
Positions et couverture de mots clés
Top 100 : 3 828 → 7 622 (+99%)
Top 10 : 336 → 489 (+45%)
Top 3 : 79 → 143 (+81%)
La progression se fait sans rupture : la courbe suit une tendance haussière avec des phases de consolidation. Le volume de requêtes captées s’élargit et la part des positions fortes (top 10 et top 3) augmente à un rythme soutenu mais cohérent avec la cadence éditoriale.

Trafic organique
Le trafic organique mensuel accompagne la hausse des positions. La trajectoire est continue depuis le lancement du site, avec quelques plateaux liés aux saisons et aux mises à jour d’algorithmes, puis des reprises après ajustements on-site et netlinking.
Budget estimé
Si l’on transpose ce dispositif à un projet client, l’enveloppe estimée est de 250€/mois. Sur 24 mois, cela représente environ 6 000€. L’essentiel se joue sur la durée : la constance éditoriale et la maintenance SEO cumulent des effets composés qui améliorent progressivement la visibilité et la stabilité des positions.
Enseignements clés
On retient trois points opérationnels :
- La régularité éditoriale est plus déterminante que les à-coups de production.
- Un on-site propre + un netlinking qualitatif et mesuré construisent une autorité durable.
- Avec un budget maîtrisé, on obtient des gains stables à condition d’accepter l’horizon long terme.
Limites et périmètre
Il s’agit d’un site interne, donc sans contraintes métier spécifiques (catalogue, saisonnalité forte, contraintes légales). Les résultats restent indicatifs : chaque marché possède sa concurrence, ses cycles et ses barrières à l’entrée. On ne publie pas de détails granulaires sur le netlinking afin de ne pas exposer des tactiques sensibles et de respecter notre devoir de réserve.
Au final ?
Sur 24 mois, une stratégie simple et disciplinée permet de doubler la couverture de mots clés et d’augmenter sensiblement la présence en top 10 et top 3. L’approche convient aux PME qui souhaitent investir de manière raisonnable et durable, avec un pilotage régulier et des ajustements mesurés plutôt qu’un plan ponctuel intensif.