On va être francs avec vous : oui, il nous arrive de dire non à certains projets. Pas par snobisme. Pas parce qu’on croule sous les demandes (même si on a la chance d’avoir de chouettes clients fidèles). Mais tout simplement parce qu’on veut faire les choses bien — et pour ça, il faut que le projet tienne la route, dès le départ.
Et parfois… ben ce n’est pas le cas.
On ne vend pas du rêve, on construit du concret
Chez L’Agence Drômoise, on est fans des belles idées. On adore quand un client débarque avec des étoiles plein les yeux et une vision claire de ce qu’il veut faire sur le web. Mais on a aussi appris, au fil des années, à ne pas foncer tête baissée dans des projets qui semblent sympas… mais qui, dans les faits, sont intenables.
Un exemple ?
Créer le « Facebook des artisans », le Uber du transport régional, ou encore un site e-commerce qui concurrencera Amazon… avec un budget de 2 000 € tout compris. 🤯
On caricature à peine. Et pourtant, on comprend d’où ça vient ! Il y a plein d’articles qui promettent monts et merveilles, des freelances sur des plateformes qui cassent les prix… Mais voilà : notre job, c’est pas de vous vendre un rêve en kit. C’est de construire avec vous quelque chose de viable, de performant, et qui vous apporte de vrais résultats.
On choisit nos projets comme on choisirait un partenariat
Quand on accepte un projet, on ne se dit pas « Cool, un site de plus à cocher sur la to-do ».
On se dit plutôt : « Est-ce qu’on peut vraiment l’aider ? Est-ce qu’on va pouvoir l’emmener plus loin que ce qu’il imagine ? Est-ce qu’on sent une relation de confiance possible ? »
Parce qu’au fond, on ne vend pas juste un site internet.
On construit une relation, souvent sur plusieurs mois, parfois plusieurs années. Et si on commence sur de mauvaises bases — un objectif irréaliste, un budget trop serré, un manque d’écoute mutuelle — on sait que personne ne sera gagnant. Ni vous, ni nous.
Ce qu’on regarde avant de dire « go »
Alors non, on ne fait pas passer les clients sur un tapis roulant façon casting. Mais on a quand même quelques critères clairs (et sains) avant de dire oui.
1. Le budget est-il cohérent avec les objectifs ?
Vouloir se positionner en première page de Google sur « avocat Lyon » ou « coaching entreprise » avec un budget SEO de 200 €/mois… c’est comme vouloir acheter un billet pour Mars avec le pass TER. On sait d’avance que ça ne marchera pas, et on préfère être honnêtes dès le départ.
2. Le projet est-il techniquement faisable ?
On adore les défis, mais on connaît nos limites. Si un projet demande 6 mois de développement custom, une appli mobile et une infrastructure serveur de compèt’… pour le prix d’un site vitrine, on vous le dira franchement. On pourra même vous conseiller d’autres prestataires si besoin.
3. Est-ce qu’il y a une vraie volonté de collaborer ?
Les meilleurs projets qu’on a réalisés, c’était toujours avec des clients impliqués, à l’écoute, curieux de comprendre ce qu’on fait. Pas besoin d’être expert, hein. Mais si vous êtes là juste pour « qu’on fasse tout », sans discuter, sans valider, sans échanger… ça coince.
4. Est-ce qu’on sent qu’on va s’éclater ensemble ?
C’est peut-être le plus subjectif, mais il est crucial : on aime bosser dans une bonne ambiance. Avec des gens sincères, qui ont envie de construire un truc durable. Parce que quand on s’entend bien, on va toujours plus loin. Et les résultats s’en ressentent.
Dire non, c’est une preuve de respect (et de professionnalisme)
On le dit souvent : notre priorité, c’est la satisfaction de nos clients. Et ça commence par poser des bases saines. Si on accepte un projet qu’on sait injouable, juste pour faire rentrer du chiffre, on va droit dans le mur.
Résultat ? Un site qui n’atteint pas ses objectifs, un client déçu, une équipe frustrée, et une réputation qui en prend un coup. Aucun intérêt.
Alors oui, parfois on dit « non ». Mais c’est toujours pour de bonnes raisons. Et souvent, ce « non » ouvre la porte à un « oui » plus réfléchi, plus adapté, plus efficace. On reformule le besoin, on ajuste le budget, on repense les priorités… et là, on peut créer quelque chose de solide.
En résumé : on choisit la qualité, pas la quantité
Chez nous, chaque projet est un vrai engagement. On veut que chaque client puisse dire : « OK, j’ai investi dans un site qui m’apporte des résultats concrets ». Et pour ça, il faut qu’on soit tous les deux alignés sur les objectifs, les moyens, et la méthode.
Alors non, on n’accepte pas tout le monde. Mais si on travaille ensemble, c’est qu’on y croit. Et ça, ça change tout.
